26 novembre 2006
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19:05
Et si vous croyez que je ne fais rien pendant les interludes, vous vous trompez. Je viens de trouver un sens à mon blog….
Aujourd’hui le sens concerné sera le goût. J’ai questionné mon entourage immédiat et tout le monde prévoit de manger des huîtres à Noël, à ma grande surprise car pour nous les huîtres c’est le dimanche…il faut bien se constituer des habitudes, surtout si elles varient. J’habite à côté de Niort et nous avons belles halles et grand marché le samedi, les producteurs viennent des environs (île de Ré) pour le mien. Autrement le dimanche nous pouvons trouver une camionnette devant la plus petite boulangerie dans chaque village. Mais je suis fidèle et mes huîtres sont des « longues », moins chères que les bien calibrées et juste un petit peu plus délicates à ouvrir pour les néophytes. Je n’en suis pas une.
Au début de ma vie d’adulte je vivais à Avranches et déjà le samedi, il y avait marché, et des huîtres dont la provenance exacte m’échappe, si ce n’est le nord de Granville. Plus de Papa pour les ouvrir. Que faire ? me marier ? Je penchais pour cette solution avant d’en trouver une moins contraignante : les ouvrir moi-même. Quelles étaient délicieuses ces premières huîtres de célibataire !, même si elles étaient quelques fois entachées d’une petite goutte de sang.
J’adoptais bien entendu la méthode à Papa.
La mauvaise: j'ai dû chercher le couteau dans le tiroir à trucs, qui sait-on jamais, peuvent servir un jour. Non il n'est pas rouillé, la couleur provient sans doute d'un reflet malheureux.
Aujourd’hui le sens concerné sera le goût. J’ai questionné mon entourage immédiat et tout le monde prévoit de manger des huîtres à Noël, à ma grande surprise car pour nous les huîtres c’est le dimanche…il faut bien se constituer des habitudes, surtout si elles varient. J’habite à côté de Niort et nous avons belles halles et grand marché le samedi, les producteurs viennent des environs (île de Ré) pour le mien. Autrement le dimanche nous pouvons trouver une camionnette devant la plus petite boulangerie dans chaque village. Mais je suis fidèle et mes huîtres sont des « longues », moins chères que les bien calibrées et juste un petit peu plus délicates à ouvrir pour les néophytes. Je n’en suis pas une.
Au début de ma vie d’adulte je vivais à Avranches et déjà le samedi, il y avait marché, et des huîtres dont la provenance exacte m’échappe, si ce n’est le nord de Granville. Plus de Papa pour les ouvrir. Que faire ? me marier ? Je penchais pour cette solution avant d’en trouver une moins contraignante : les ouvrir moi-même. Quelles étaient délicieuses ces premières huîtres de célibataire !, même si elles étaient quelques fois entachées d’une petite goutte de sang.
J’adoptais bien entendu la méthode à Papa.
La mauvaise: j'ai dû chercher le couteau dans le tiroir à trucs, qui sait-on jamais, peuvent servir un jour. Non il n'est pas rouillé, la couleur provient sans doute d'un reflet malheureux.